PAPA WEMBA & VIVA LA MUZIKA
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Veuillez trouver un accès aux production du Frère Marcus Kim.
JESUS NUMBER ONE
SACRIFICE
LA PRAISE PARTY ONE
Clarisse Tshibola, une artiste gospel congolaise, est une chanteuse gospel originaire vraisemblablement de la RDC, active dans la musique chrétienne contemporaine. Elle écrit et interprète ses propres chansons, telles que Ni Mambo Yake, Esprit Du Seigneur et Témoignage. Ses productions s’inscrivent clairement dans la musique chrétienne contemporaine ou gospel. Active au moins depuis 2015, elle a su renouveler sa présence dans le paysage gospel musical jusqu’en 2024…
Né en 1963 à Mokama, dans la province du Bandundu (RDC), il est le deuxième d’une fratrie de quatre enfants. Il est le grand frère de Noël Ngiama Makanda, connu sous le nom Werrason, star de la musique congolaise.
Sa vocation pour la musique gospel est née très tôt, et en 1988 il est remarqué pour son onction vocale. Il s’installe à Kinshasa dans les années 1990 et lance le ministère Mon Âme Loue l’Éternel (M.A.L.E.). Il est marié à Esther Mutoko depuis le 10 juillet 1996, et père de plusieurs enfants.
Discographie notable
Il est l’auteur de plus d’une soixantaine de cantiques connus tels que Bonjour, Munduki, Libala, Pasteur Patron, Nani alie mbuma, Daniel à Babylone…
Il s’est produit en concert dans des villes comme Kisantu et Kenge, souvent dans un contexte de foi ou d’engagement communautaire. Durant le confinement de 2020, il a organisé avec son frère Werrason une session de prière et d’adoration en direct sur Facebook. Le pasteur Moïse Mbiye le considère comme une figure paternelle spirituelle, soulignant que grâce à lui deux générations ont pu partager la même scène lors de son concert au Stade des Martyrs.
Frère Patrice Ngoy Musoko est une icône du gospel congolais, marqué par sa voix, son engagement spirituel et sa capacité à inspirer plusieurs générations. Fondateur d’un ministère musical influent, il utilise la musique comme vecteur de paix, de repentance et de fidélité à Dieu, tout en restant proche de son peuple.
Née à Kinshasa, Théthé Djungandeke est devenue une figure emblématique de la musique chrétienne congolaise, notamment durant les années 1990. Elle reste célèbre pour ses titres « Célibat Ekweyi », « Libala Kati na Yesu » ou encore « Il est là ».
Son œuvre a marqué les esprits, en particulier dans les cérémonies de mariage où ses chants sont souvent repris. La chanteuse est décédée le 15 décembre 2021 à Kinshasa, des suites d’une longue maladie selon ses pairs et les médias congolais.
En plus de sa carrière musicale, Maman Théthé a assumé des responsabilités sociales : elle a été présidente de l’ACLAMAC, une association réunissant des femmes chrétiennes en RDC, de 2000 à 2002. Elle a ainsi marqué les esprits au-delà de la scène musicale, comme une voix féminine forte du gospel congolais.
Ngimbi Malonda, dit Mbuta Likasu est un artiste qui a su briser les frontières entre la comédie et la musique. Son nom évoque immédiatement le rire, la créativité, mais aussi une capacité rare à transformer la scène en un espace de joie et de réflexion.
Dès ses débuts dans les années 1990, il a trouvé son originalité : faire rire et chanter en même temps, un mélange audacieux qui l’a rendu unique.
Mbuta Likasu compte dans son actif deux albums «Attention obus» et «Sauve qui peut» qui s’étaient bien comportés sur le marché congolais du disque. «L’album Carnaval sera sur le marché au cours de ce mois de novembre. Il contient quelques chansons ainsi que des sketches», a-t-il indiqué. Tout commence à Brazzaville, en 1992, quand il anime des funérailles et des mariages avec des sketches comiques. Rapidement, il comprend que son talent va au-delà du rire : sa voix séduit, son énergie captive.
De là naît l’idée de créer une musique qui raconte des histoires avec humour et vérité, où chaque chanson devient une petite pièce de théâtre.
Mbuta Likasu, c’est la preuve qu’on peut mélanger les arts pour créer quelque chose de nouveau.
Il incarne une forme d’art authentique, joyeux, populaire et profond à la fois, qui a marqué toute une génération d’amateurs de musique et d’humour.




Baby Ndombe (aussi appelé « Baby Black »). Fils de Ndombe Opetum (Pepe Ndombe), ancien chanteur du légendaire groupe TPOK Jazz. Baby Ndombe est né à Kinshasa, dans une famille de neuf enfants.
Il a commencé à chanter très jeune, souvent en hommage à son père. Il a débuté sur scène public dès 1981, encouragé par Papa Wemba venu dans son quartier. En 1987, il crée un premier groupe au sein duquel, il joue de la batterie et de la guitare. Il monte ensuite un second groupe, ABG ou « Académie de Beaux Gars » au sein duquel il joue de la guitare basse. Le groupe livre quelques concerts notamment avec et l’Empire Bakuba. De 1990 à 1993, il rejoint un autre groupe basé dans la commune. En 1994, il crée un nouveau groupe qui joue souvent en lever de rideaux DEFAO.
En 1997, il rejoint Wenge Musica Maison Mère, l’un des groupes phares conduits par Werrason. Avec eux, il se produit largement à travers le Congo, en Afrique, en Europe (France, Royaume-Uni, Belgique, Pays-Bas, Portugal, Italie, Allemagne) ainsi qu’aux États-Unis et au Canada.
Concernant sa carriere solo, il a enregistrés en 20006, aux Etats-Unis un de ses projets nommé Tour de Babel. Récemment, il a été mentionné dans un projet réunissant d’anciens membres de Wenge Musica Maison Mère autour de Ferre Gola, pour un album intitulé « Dynastie ». Des noms comme Serge Mabiala, JDT, Teka, Japonais, Celeo Scram, et d’autres y sont associés. Ferre Gola a invité Baby Ndombe à contribuer à ce projet, et plusieurs musiciens vivant en Europe.
Ce groupe est originaire de la région du Kasaï en RDC, et mêle instruments traditionnels et modernes ; leurs chansons sont principalement en tshiluba, parfois en lingala. Le leader charismatique, Joseph Ilunga Kankolongo alias Lelimba wa Kutshila (surnommé « Empereur ») est considéré comme un griot luba. C’est aussi lui qui a fondé le groupe dans les wagons de train en 1985, à l’origine sous le nom « Bayuda » (en référence aux vendeurs ambulants). Les Bayuda du Congo sont un orchestre folklorique luba-tradi-moderne dirigé par Lelimba. Ils ont laissé une empreinte durable dans la musique congolaise depuis leurs débuts dans les wagons de train jusqu’à leurs albums à succès et leurs prestations publiques continues à Kinshasa.
Le groupe a quitté le commerce itinérant pour se consacrer totalement à la musique, se réinstallant à Kinshasa en 1992, où ils ont rencontré un succès immédiat (premiers gains estimés à 17 500 USD, avant une escroquerie par un producteur).
Ils ont depuis sorti plusieurs albums importants :
Tshiolilo (début des années 2000)
Grand Kasaï (2004, a popularisé des titres comme Kasai Munene, Cadence, Voyage, Ndumba)
Le groupe se produit régulièrement à Kinshasa dans des restaurants et événements, ainsi que lors d’évènements officiels. Par exemple :
Concert à l’Espace Palace (Kinkole) en octobre 2020, marquant leur retour après la COVID‑19
Participation lors des obsèques de Dikembe Mutombo en octobre 2024, au stade des Martyrs .
Il existe aussi une formation appelée « Bayuda Nouvelle Génération » menée par le chanteur Kadiyoyo wa ku Ndemba, active notamment en 2022 lors d’une kermesse à Kinshasa
Les Bayuda du Congo incarnent un style de musique tradi-moderne enraciné dans les traditions du Mutwashi et de la rumba congolaise, avec des instruments traditionnels et un fort accent sur la danse folklorique luba. Les Bayuda du Congo sont un orchestre folklorique luba-tradi-moderne dirigé par Lelimba. Ils ont laissé une empreinte durable dans la musique congolaise depuis leurs débuts dans les wagons de train jusqu’à leurs albums à succès et leurs prestations publiques continues à Kinshasa.




